|
Les favoris au tirage passe, cela passant par une incroyable remontada de la part des Runners aux dépends d'Indiens médusés. La finale opposera pour la troisième fois en cinq ans les Runners au Stade Uzellois. |
| Elit Runners IF (D1) | 8-3 | The Indians (D1) |
|
Hannes Hedvall (22,90) R. Daneel Olivaw (27,28) René Descartes (32) Balthazar Arridimentia (54,68,81) |
 |
Lordi (1) Jean Baptiste Perrin (19) Joey Issofora (24) |
 |
Jean Baptiste Perrin (27) |
|
 |
||
|
Lars Södergård (9, 2M) |
 |
|
|
L'improbable s'est produit, un ovni footballistique, une remontada tellement invraisemblable que si j'avais fait un film de cela, je n'aurais pas imaginé un scénario pareil, me disant que ce serait trop gros. Et pourtant. Les Runners doivent remonter le 6-3 concédé à l'aller. Mais dès l'engagement, les Indiens ouvrent le score, les Runners n'ayant touché la balle que pour, en catastrophe, la dégager en corner. Derrière, les locaux dominent mais se font prendre en contre et Jean Baptiste Perrin double la mise : 0-2 devant un public qui hésite à s'en aller... Les Runners reviennent à 1-2 mais dans la foulée encaissent leur troisième but... 1-3 au quart du match, il reste cinq buts à marquer pour arracher les tirs au but. Les spectateurs s'apprêtent à quitter le stade quand Olivaw marque par deux fois en deux minutes, provoquant le retour des spectateurs n'ayant pas franchi la grille dans leurs gradins... Dans la foulée, René Descartes marque le quatrième but et un quart d'heure d'accalmie plus tard, les locaux à la pause ne sont plus qu'à deux buts des tirs-au-but... à condition de ne plus prendre de buts en seconde période. La seconde période est, paradoxalement, plus équilibrée sur le terrain mais les Indiens ne cadrent plus leurs occasions. Arridimentia marque, puis une nouvelle fois un quart d'heure plus tard. Stupeur : à un peu plus de vingt minutes du terme, les Runners ont refait leur retard : 6-3 partout. Il reste dix minutes à jouer quand Arridimentia réalise le coup du chapeau... Incroyable, les Runners sont qualifiés... Ils obtiennent même un penalty dans la foulée, mais celui-ci est arrêté par Khannouchi, l'ancien de la maison... Les Indiens ont quelques occasions de revenir à 7-4, ce qui les qualifierait aux buts à l'extérieur. Mais sur un dernier rush au bout du temps réglementaire, Hedvall parachève la soirée et le triomphe coursier en trompant une dernière fois Khannouchi et en clôturant le score à 8-3. Le public fidèle (hem) peut exulter, les Runners seront donc en finale, une fois de plus. Les Indiens ont complètement déjoué, la faute essentiellement à un coup de poker tactique qui ne s'imposait peut-être pas vu le score du match aller. Quel dommage pour les visiteurs qui auront toutefois réaliser une très bonne prestation dans cette compétition. Score cumulé : Elit Runners IF 11-9 The Indians |
||
| Stade Uzellois (D1) | 3-0 | FC Nains de Jardin (D1) |
|
Thomas Toumarquet (22) Samir Fabregas (40) Michel Mabel (50) |
|
|
|
||
|
||
|
Louis Capet (52, 1M) |
|
|
Le Stade Uzellois, impeccable, remonte le retard pris à l'aller en s'imposant sans vraiment tremble sur le score de 3-0. Un but au bout de vingt minutes, un autre avant la pause, un troisième au retour des vestiaires... Le rêve nain a passé. Les Uzellois retrouvent donc la finale trois ans après leur dernière apparition à ce niveau et quatre ans après l'avoir gagné. Score cumulé : Stade Uzellois 4-2 FC Nains de Jardin |
||