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La finale opposera, sans doute comme prévu après le match aller, les Runners aux Uzellois. Mais cela a été beaucoup plus compliqué que prévu, les Runners ayant été plus d'une demi-heure en position d'éliminés tandis que les Vendéens ne se sortent du piège funkiste qu'aux tirs-au-but. |
| Stade Uzellois (D1) | 5-3 | Elit Runners IF (D1) | |||||||||||||||||||||||||||
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Michel Mabel (1,58) Leo Iniesta (4) Maciej Rybus (22) Ronaldo Da Costa (41) |
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Louis Bertignac (10) Lordi (31) Siboniso Gaxa (87) |
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Incroyable dénouement dans ce match qui aura tenu toutes les promesses. Le Stade Uzellois a longtemps cru qu'il avait réussi l'exploit de remonter le 6-3 de l'aller, mais un but en fin de rencontre de Siboniso Gaxa donnera (logiquement) la qualification aux Runners. Et pourtant, suite à un début de match tonitruant, les Uzellois mènent 2-0 en moins de cinq minutes : les voilà à un but de la qualification. Néanmoins, les Runners réduisent la marque dans la foulée, il faut alors deux buts aux locaux. Si ces derniers font la moitié du chemin dix minutes plus tard en marquant le troisième but, les Runners reviennent à 3-2 à la demi-heure de jeu. Finalement, les Uzellois portent le score à 4-2 juste avant la pause, sifflée sur une tension inimaginable. En seconde période, les Runners prennent possession du ballon mais s'exposent aux contres des locaux, lesquels, sur l'un d'entre eux, obtiennent un corner conduisant au but de Mabel : 5-2 à un peu plus d'une demi-heure du terme : les Uzellois sont à ce moment-là qualifiés. Douchés, les Runners ne lâchent néanmoins rien et poussent pour marquer le but de la qualification. Les Uzellois souffrent mais tiennent et le temps passe... On se demande si on va assister à une passation de pouvoir mais à trois minutes du terme, Siboniso Gaxa d'un tir puissant envoie la balle dans le petit filet de Jean Nenkèspazun et arrache ainsi son billet pour la finale. Le Stade Uzellois ne reviendra pas et, comme l'an dernier, s'arrête en demi-finale en gagnant le match retour 5-3. Les Runners ont peut-être perdu le championnat (et encore, pas mathématiquement), mais ils conserveront peut-être la Coupe. Score cumulé : Stade Uzellois 8-9 Elit Runners IF |
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| Stade Vendéen (D1) | 1-0 (4-3 tab) |
Funk Unit (D2) | |||||||||||||||||||||||||||
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Charette de la Contrie (20) |
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Ibrahim Owitsch (76) |
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Le Funk Unit a tellement frôlé l'exploit de près que ça en est triste pour eux. Vainqueur sensationnel 1-0 à l'aller, on ne donnait paradoxalement pas beaucoup de chances aux visiteurs pour ce match retour. Et en effet, après un début de match globalement à l'avantage des Vendéens, Charette de la Contrie ouvre le score pour les siens, mettant ainsi les deux équipes à égalité parfaite sur l'ensemble des deux rencontres. Les Vendéens multiplient ensuite les occasions mais ne réussissent pas à marquer ce deuxième but synonyme de qualification, les locaux tombant sur un énorme Daouda Karaboue dans les buts funkistes. Les visiteurs se procurent même quelques occasions mais ne parviennent pas à les exploiter. Le temps passant, les tirs-au-but deviennent de plus en plus envisageables jusqu'à devenir une réalité lorsque l'arbitre siffle la fin du match sur une dernière tentative infructueuse de Kader Houssel. La place en finale va donc se jouer aux dés, ou presque. Après deux tirs chacun, les Vendéens mènent 2-1. Mais les deux tirs locaux suivants sont manqués tandis que les visiteurs réussissent les leurs : 3-2 pour le Funk Unit avant le dernier tir-au-but. Ibrahim Owitsch a la qualification au bout du pied mais Cyrille Minguet sauve son équipe d'une parade impeccable. Aubin Didon remet son équipe à égalité à la suite d'un contre-pied un peu fébrile mais qui fait mouche : 3-3 à l'issue de la première phase, on va devoir recourir à la mort subite. René Gossier tire alors sur le gardien et Yaroslav Rakitskiy qui a la qualification des Vendéens au bout du pied réalise le contre-pied qui aurait pu être parfait si la balle n'était pas en-dehors du but. C'est ensuite au tour de Gonzalo Gécoute d'envoyer un missile sur la transversale. Cette fois, Maxime Bossis ne tremble pas et envoie son équipe en finale, laissant le Funk Unit dans une détresse absolument terrible. Les Vendéens iront donc à l'AWL Stadion pour tenter de ramener son premier trophée national (en effet, les Vendéens ont déjà gagné une CSC mais rien en AWL). Mais ce fut paradoxalement plus dur d'éliminer le Funk Unit que la Tunisie. Mais comme diraient les plus grands philosophes, "c'est le football !"
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