Quarts de finale aller

Vingt-et-un buts dont quinze dans le même match un peu fou. Trois matchs semblent avoir donné leur verdict (ou pas) pour une rencontre plus indécise a priori.

Stade Uzellois (D1)  1-0  Final Fantasy Team (D1)
Gérard Remenvusa (81)
 
   
   
   
Le Stade Uzellois a dominé les débats dans une rencontre à sens unique. Heureusement pour les visiteurs, Bjorn Elpe-Efce, le portier finalien, a réalisé un grand match pour permettre à son équipe de rester dans le match. Il ne pouvait toutefois rien sur le tir à bout portant de Gérard Remenvusa à dix minutes de la fin.
Avec ce score de 1-0, le Stade Uzellois n'a pas encore assuré sa qualification. Mais avec un avantage et sans avoir encaissé de but, le plus dur est peut-être déjà fait.
Stade Vendéen (D1)  0-1  Oboro (D1)
  Lorenzo Fime (50)
Pégase
 
   
   
Les deux équipes s'étaient déjà rencontrées la saison passé en huitièmes de finale et le Stade Vendéen l'avait emporté grâce à une victoire à l'extérieur après avoir concédé le nul à domicile.
Cette saison, Oboro repart de Vendée avec un peu mieux que la saison dernière grâce à cette victoire 0-1 pas imméritée puisque les locaux n'ont pas eu d'occasions.
Néanmoins, le Stade Vendéen était privé de deux joueurs et un sera revenu pour le retour : tout n'est peut-être donc pas joué.
Troubadours du Ch. (D1)  4-0  Lords of Destruction (D1)
Frédéric Hue-Heffeux (26,52)
Thembinkosi Fanteni (88)
Toru Terasawa (89)
 
   
   
   
Sans doute une surprise. Pas tant la victoire des Troubadours (encore que les locaux n'ont pas gagné en D1 cette saison) mais plutôt l'ampleur du résultat. Les Lords n'ont pas du tout existé et les Troubadours ont pu tranquillement déployer leur jeu, menant 1-0 à la pause, puis 2-0 au retour des vestiaires, avant d'achever leur adversaire dans le temps additionnel.
Avec ce score de 4-0, on serait tenté de dire que l'essentiel est fait pour les Troubadours. Mais vu les derniers scores en championnat, il se pourrait qu'il reste un petit espoir pour les Lords. Mais ça passe par un exploit.
Elit Runners IF (D1)  10-5  RWD Molenbeek (D2)
Louis Bertignac (9,10,70,88)
Lordi (29,53)
Balthazar Arridimentia (38,52,78)
René Descartes (71)
Torog (27)
Léon de Soissons (31,80)
Mélusine Flam (47)
Yves Duteil (69)
   
   
   
Le match a priori le plus déséquilibré sur le papier même si Molenbeek était la dernière équipe invaincue de l'AWL cette saison (en n'ayant toutefois affronté que des équipes de D2).
D'ailleurs, à 2-0 au bout de dix minutes, on se dit que l'équipe de D2 va se faire atomiser. Mais le match va prendre un tournant bizarre. Déjà, les Belges vont finalement stopper temporairement l'hémorragie pour revenir à 2-1 puis à 3-2, puis à 4-3 devant un public un peu stupéfait.
Les Runners vont porter alors le score à 6-3 avant de voir Molenbeek revenir à 6-4. C'est le moment où les locaux vont choisir de presser davantage et porteront le score à 9-4 puis 10-5.
En quelque sorte, Molenbeek a été héroïque sur ce match. Mais l'écart de cinq buts semble insurmontable en vue du match retour qui devrait officialiser la qualification des Runners.