Trois clubs de l'élite pour un seul de D2, c'est l'inverse de l'an dernier. Le tenant perd sa couronne et l'Elit semble devenir le favori de cette compétition... comme l'an dernier avec le résultat qu'on connaît. Neuf buts, une seule qualification à l'extérieur, une séance de tirs-au-but, deux scores étriqués et un qui n'est pas non plus une déroute : ce tour a gloablement été plutôt serré. |
Troubadours du Ch. (D1) | 1-0 | Tunisie (D1) | ||||||||||||||||||
Thalen (4) |
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Sur la première occasion du match, Thalen ouvre le score pour son équipe. En fait, la Tunisie n'existera jamais dans cette rencontre, étant passée complètement à côté de son match. Les Troubadours auront de nombreuses occasions d'enfoncer le clou et de faire le break, mais pour les avoir toutes vendangées, ils joueront jusqu'à la fin avec la crainte d'un retour de leur adversaire... qui n'arrivera finalement pas. Les Troubadours se qualifient pour leur première demi-finale de leur histoire et fêteront cela en retrouvant la Tunisie en championnat lors de la prochaine journée de championnat J. |
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FC Bassin d'Arcachon (D2) | 2-1 | Final Fantasy Team (D1) | ||||||||||||||||||
Fouad (38) Pam Pim Poum (69) |
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Dora (74) |
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ZE HOLD UP. Enorme casse réalisé par le FCBA, dominé, malmené, bougé comme ce n'est pas permis par une Final Fantasy maladroite. Les Aquitains, qui voient à peine le jour et n'obtiennent que des occasions peu dangereuses, plantent toutefois deux buts en contre pour mener 2-0 à vingt minutes du terme face à des joueurs finaliens proprement médusés par un tel manque de réussite. Allons-y, let's go, Dora réduit toutefois la marque pour les visiteurs à l'entrée d'un dernier quart d'heure de feu qui aura ressembler à Fort Alamo autour de la surface du FCBA. Deux balles sauvées sur la ligne, la dernière balle d'égalisation sur la barre, la baraka était du côté des Arcachonais qui retrouvent ainsi les demis-finales trois ans après leur formidable parcours achevé contre les Runners (justement en demis). Le Final Fantasy pourra crier au vol, mais ceux qui ont un peu de mémoire diront que c'est un juste retour des choses par rapport au match de coupe du Premier Tour de la saison passée. |
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Bellecroix III (D2) | 0-0 (2-4 tab) |
Carpediem United (D1) | ||||||||||||||||||
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Bellecroix aura vraiment été très paradoxal cette saison. Sublimé en coupe, dont il est un des vainqueurs, il faut le rappeler (à une époque où l'équipe était coachée correctement, donc pas depuis deux ans), pathétique en championnat. Si la disposition tactique du Carpediem peut paraître étrange, elle a néanmoins permis de dominer, mais l'extrême maladresse des attaquants épicuriens a empêché le score de s'ouvrir, et il a donc fallu recourir aux tirs-au-but. A ce petit jeu, si le Carpediem rate son premier tir, les tireurs suivants font preuve d'une remarquable précision tandis que Mickaël Grétor et surtout Jédel Espoir envoient leurs tirs dans les nuages. Le Carpediem, et ce n'est que justice, retrouve les demis-finales pour la troisième fois, six ans après sa dernière participation à ce niveau.
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Elit Runners IF (D1) | 4-1 | Oboro (D2) | ||||||||||||||||||
Christoph Spycher (23) Benoît Rose (31,68) Alexis Sánchez (56) |
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Kami du Reflet Perverti (3) |
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Les Runners prennent enfin leur revanche. Battus séchement 3-0 en demis-finales de coupe l'an passé, puis 1-0 en Trophée des Champions, les Runners font enfin valoir leur rang en fessant séchement Oboro, lequel prend pour la première fois de la saison quatre buts dans un match une semaine après en avoir encaissé deux aussi pour la première fois. Pourtant, quand Kami du Reflet Perverti ouvre le score dès le début de la rencontre, c'est le spectre du proche passé qui resurgit. Mais les Runners ont retrouvé une partie de leur efficacité qui leur faisait défaut en première partie de saison et parviennent à égaliser par Christoph Spycher et prendre l'avantage par Benoît Rose. A la pause, le score est de 2-1 et tout reste possible. Au retour des vestiaires, Oboro prend le jeu en main mais Jimmy Trivette réalise deux parades de grande classe pour garder le score. Et c'est au contraire, sur un contre, Alexis Sánchez qui porte le score à 3-1 à la plus grande joie du public. Oboro est un peu sonné et le score paraît joué quand Benoît Rose réalise le doublé. Peu habitué à être mené, Oboro peine à réagir et ne parvient pas à réduire la marque, donnant au score une proportion un poil exagérée. Mais en coupe, cela n'a guère d'importance et Oboro cède sa couronne. Un passage de témoin ? En tout cas, les Runners se qualifient pour leur sixième demi-finale de leur histoire, plus d'une sur deux. Chapeau ! |